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La mariée portait des bottes jaunes de Katherine Pancol

Ils ne savent pas que leurs écrits restent dans nos coeurs,

Que leurs récits nous donnent des vibes, des palpitations, des émotions.

Oui, ils ne savent pas, qu’on se camoufle dans le lit à 14 ans avec une lampe torche pour connaître la suite…

Ils ne savent pas que leurs récits peuvent être entre les mains de plusieurs générations et qu’ils rassemblent tout simplement.

Ils ne savent pas que leurs mots nous soulèvent le coeur, nous emportent et nous donnent des étincelles dans notre quotidien, parfois pas facile …

Il ne savent pas qu’ils ont créé ce lien invisible entre nous et eux.

Ce lien qui perdura dans le temps…

Ils ne savent pas que 20 ans après, on est toujours là…

Toujours là, après Les yeux jaunes des crocodiles, lu avec ma maman et ma mamie.

Elle ne sait pas que dès les premières pages de La mariée portait des bottes jaunes, la magie opère.

Les mots s’échappent, nous enveloppe le coeur, l’esprit et nous emportent ailleurs…

Ils nous attrapent et nous ramènent à ce moment celui de l’insouciance, le temps de tout les possibles.

Nous rencontrons la famille Berléac et nous savons de suite qu’il se passe quelque chose d’inexplicable.

Nous ne voulons plus les quitter car les laisser c’est aussi se séparer d’une petite part de nous…

Nous prenons alors notre temps pour rester avec eux, sourire, rire, pleurer.

La vie palpite, les émotions bouillonnent, illuminent les souvenirs. Nostalgie forever.

Nous sommes dans ce temps suspendu qui réveille l’âme et qui nous murmure qu’aujourd’hui encore tout est possible…

Je l’ai retrouvé, elle (s)…

Mais chut, elle ne le sait pas encore…

Que c’est un coup de coeur absolu !

Elle sait en revanche qu’il sort aujourd’hui en librairie, foncez, n’attendez plus, votre coeur vous dira merci.


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