Cascade de Craig Davidson
Sept nouvelles qui vont vous foudroyer, vous bousculer et vous faire sortir de votre zone de confort !
Sept textes qui réussissent en très peu de pages à vous plonger dans une ambiance, à vous claquer en pleine gueule un tourbillon d’émotions.
Oui, Craig Davidson nous prouve qu’en peu de pages, on peut vibrer, ressentir, crier, pleurer.
Il nous démontre que ce n’est pas la longueur du texte qui signe le talent.
Oui, en très peu de mots, nous sommes immergés dans l’histoire et c’est toute sa force.
Des mots qui se métamorphosent en images et qui restent gravés dans notre esprit et dans notre coeur.
Des images dures, crues, sombres qui chacune à leurs manière nous révèlent ce qui définit toute la complexité de l’être humain.
À quel point, est-il possible de se retrouver au bord du précipice lorsqu’il s’agit de faire face à nous-mêmes et à ceux que nous aimons ? Oserons-nous aller jusqu’au bout ?
Sept textes percutants dont une « Les gorilles du vendredi soir » qui continue de me hanter.
C’est rare qu’un texte reste encore et encore, et encore moins une nouvelle comme quoi le talent ne se mesure pas à la quantité…
Après avoir adoré Un goût de rouille et d’os (adapté au cinéma par Jacques Audiard), il a réussit une fois de plus à me surprendre et à m’entraîner dans les méandres sombres de l’âme humain.
Si vous avez envie de vivre une expérience hors norme alors foncez découvrir l’univers de Craig Davidson !
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